MANZ. 12. 0067 [Postillato] Milano, Biblioteca Nazionale Braidense

1.

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Tous les noms, excepté les <u>noms propres</u> expriment une généralité. <u>Chêne</u> est un nom général aussi bien que <u>Arbre</u>; seulement >...< celui-ci signifie une généralité plus vaste. Du reste Locke le dit lui-même p. 324.

2.

Pagina: 61

All ideas come from sensation or reflection.

3.

Pagina: 61

Let us then suppose the mind to be, as we say white paper, void of all characters, without any ideas; how comes it to be furnished? ... To this I answer in one word, from experience; in that all our knowledge is founded; and from that it ultimately derives itself.

4.

Pagina: 61

Sicut in speculo ea quae videntur non sunt, sed eorum species .... ita quae intelligimus, ea sunt re ipsa extra nos, eorumque species in nobis. Est enim quasi speculum intellectus noster, cui <u>nisi per sensum repraesentetur res, nihil scit</u>. J.C. Scaligeri. De causis linguae latinae, Lib. III, Cap. LXVI.

5.

Pagina: 72

Manina

6.

Pagina: 110

for though they probably have several ideas distinct enough;

7.

Pagina: 174

When the mind turns its vi>...< inwards upon itself and contemplates its own actions, thinking is the first that occurs. In it the mind observes a great variety of modifications, and from thence receives distinct ideas. Thus the perception which actually accompanies, and is annexed to, any impression on the body, made by an external object being distinct from all other modifications of thinking, furnishes the mind with a distinct idea, which we call sensation; which is, as it were, the actual entrance of any idea into the understanding by the senses.

8.

Pagina: 229

Ainsi, c'est <u> en faisant souvent une chose </u>, que l'<u> on acquiert la puissance (ou aptitude) de la faire </u>. Voila qui est évident. On commence par >...< faire une chose sans <u> puissance </u>, sans <u> aptitude </u>: car à quoi cela pourrait-il servir, quand il s'agit de la faire? on acquiert cette puissance, cette aptitude à force de la faire; car c'est alors que l'on commence à en avoir besoin. Ceci n'est pas un paralogisme sans conséquence; car il >... ... < arrive souvent aux métaphysiciens de l'école de Locke, de faire naitre >...< la puissance de faire une première operation de l'habitude de la faire, c'est à dire, d'arriver au commencement au moyen de la suite. En voici un exemple qui me vient à la mémoire. Condillac, voulant démontrer comment des actes corporels ont pu devenir des signes, et produire le langage, suppose deux enfans <u> égarés dans des déserts, avant qu'ils connussent l'usage d'aucun signe </u>, et qui se rencorrent. D'abord les cris et les mouvements de l'un excitent l'autre à le secourir, à >...< l'aider, <u> par le seul instinct </u>,

9.

Pagina: 230

<u> car la réflection ne pouvait encore y avoir part... Cependant les mêmes circonstances ne purent se répéter souvent </u> (voila le <u> souvent </u> du maitre) <u> qu'ils ne s'accoutumassent enfin </u> (voila l'<u> habitude </u>) <u> à attacher aux cris des passions et aux différentes actions du corps des perceptions qu'y étaient exprimées d'une maniéres si sensible </u>... Et peu loin: <u> D'abord tous deux se firent une habitude de connoitre </u> (la connaissance qui vient par l'habitude! c'est à dire que l'on commence à connaitre en ayant connu) <u> à ces signes les sentiments que l'autre éprouvait </u> etc. Il est vrai qu'il avait dit au commencement: <u> Quand ils vécurent ensemble, ils eurent occasion de donner plus d'exercice à ces premieres opérations, parce que leur commerce réciproque leur fit attacher aux cris de chaque passion les perceptions </u> (attacher les perceptions!) <u> dont ils étaient les signes naturels </u>. Les signes naturels! drôle d'expression dans un écrit où il s'agit de rechercher l'origine des signes! Certes, en transformant des <u> cris naturels </u> et des <u> opérations naturelles </u> en <u> signes naturels </u>, l'opération est faite en un instant.

10.

Pagina: 263

on serait tenté de dire qu'il est fort utile qu'un tel passage soit dans un tel livre, si l'on ne voyait qu'il y a été fort inutilement.

11.

Pagina: 323

<u> Plus aisement? </u> Ce n'est donc pas, même selon lui, le moyen indispensable, et par conséquent il n'y a rien à conclure de là, même selon lui, à l'origine et au principe de toutes nos connoissances.

12.

Pagina: 324

Il oublie ici complétement d'avoir dit >...< à l'endroit auquel il se refère, que ces <u> operations ... produisent dans l'entendement une autre espéce d'idées, que les objets extérieurs n'auraient pu lui fournir </u>. L. II, C. I, 4.

13.

Pagina: 324

Manina

14.

Pagina: 409

Il faudroit expliquer comment on peut penser aux choses en quittant les mots. >... ...<

15.

Pagina: 466

Ici c'est du cartesianisme. Mais ce raisonnement (puisque l'esprit etc. il faut nécessairement etc.) ce raisonnement qui est la base du Criterion de la réalité des connaissances , quel >...< est son Criterion à lui-même? Est-il une idée simple, par hasard? Non, certainement. Qu'est-ce que donc? Voyez à la page suivante.

16.

Pagina: 467

Singulier systhème, ou singuliers systhèmes, où l'on >...< se sert de la logique pour prouver la légitimité de la logique.

17.

Pagina: 475

Manina

18.

Pagina: 479

Première proposition universelle

19.

Pagina: 479

Mais essayez donc d'examiner les idées, sans penser en aucune manière à leurs noms. Employer de sons <u> pour </u> des idées , est une coutume qui a prévalu! c'est-à-dire qu'on a la parole, Dieu merci.

20.

Pagina: 479

La coutume qui a prévalu est aussi une drôle de chose. Il sait donc que cela est venu peu à peu. Et qu'est-ce que les noms des idées? Et <u> la parole mentale est-elle un son? etc. </u>

21.

Pagina: 479

deuxième prop. univ.

22.

Pagina: 479

Ce <u> lors même </u> ferait supposer la possibilité de parler aux autres sans <u> des paroles </u>

23.

Pagina: 479

troisieme

24.

Pagina: 479

quatriême

25.

Pagina: 479

Il serait curieux de voir un de ces cas <u> rares </u> d'une vérité générale comprise par quelqu'un sans la concevoir et l'exprimer par des paroles.

26.

Pagina: 479

cinquiême

27.

Pagina: 479

sixiême

28.

Pagina: 479

septiême

29.

Pagina: 479

huitiême et neuviême

30.

Pagina: 479

Après tant de propositions générales que l'auteur a émises sans s'en apercevoir, il en émet une sur les propositions générales elles-même. Comment est-il assuré de la vérité de celle-là? Ou comment peut-il l'être , selon >...< cette proposition elle-même? En connaissant les bornes précises et l'étendue des espèces que signifient les termes dont elle est composée. >...< Or que sont ces <u> espèces </u> dans le cas présent? ce sont toutes les propositions générales ni plus ni moins. De sorte que >...< l'auteur >... ...< connait déjà les bornes précises et l'étendue des propositions générales sur lesquelles il va faire des recherches; il les connait, dis-je, puisqu'il >...< établit une proposition générale sur les propositions générales, qui sont les dites espèces.

31.

Pagina: 479

dixiême

32.

Pagina: 479

onziême

33.

Pagina: 479

etc. etc. etc.

34.

Pagina: 493

La confusion que l'auteur fait entre les axiomes et les idées générales est quelque chose de prodigieux. De ce qu'un enfant connait qu'un étranger n'est pas sa mère, avant de savoir qu'il est impossible qu'une chose soit et ne soit pas, il deduit >...< que les idées particulières sont les premières que l'esprit reçoit. En effet, de deux choses l'une: ou l'enfant connait qu'un étranger n'est pas sa mère, avant d'avoir les idées >... ... < d'être et de n'être etc.: ou >..< l'idée d'être ou de n'être pas ce sont des idées <u> particulières </u>.

35.

Pagina: 565

Faites telle logique que vous voudrez, et vous serez toujours dans le cas de connaitre quelqu'un à qui elle sera inconnue, et qui raisonnera mieux que d'autres gens exercés à en connaitre toutes les finesses. Vous ne voulez donc pas d'une science qui s'appelle logique? Dans tous ces raisonnemens sur l'utilité et l'inutilité du Syllogisme <u> en forme </u>, une chose est oubliée: c'est que >... ...< toute application d'un nom, d'un mot à quelque >... ...< objet de l'intelligence que ce soit, est un syllogisme; et comme nous ne raisonnons qu'en <u> nommant </u>, le syllogisme est la condition première de tout raisonnement humain.

36.

Pagina: 569

Il ne s'apperçoit pas que, par ces mots <u> existence particulière </u> il désigne justement l'application d'une idée générale, c'est-à-dire l'idée générale, s'il en fut jamais, d'existence appliquée à quelque chose de particulier. >... ... <

37.

Pagina: 14

>... ... <