CS.M 2005 [Postillato] Milano, Biblioteca del Centro nazionale di studi manzoniani

1.

II

Il y a dans ce peu de mots une anti-logique tout-entière: anti-logique, au reste, assez dominante aujourd’hui. Admettre des principes, et en admettre seulement un certain nombre de conséquences, c’est poser une règle absurde, contradictoire, et par conséquent impraticable. Car d’où partir pour savoir à quel point on doit s’arrêter, cesser de raisonner? D’un principe ? Contradiction. Du caprice ? Absurdité immédiate

2.

VIII

S’il est démontré que la laine fût restée sans valeur, et que les alimens seraient démeurés sans consommateur, il a été absurde de dire que les ouvriers n’ont ajouté qu’une valeur égale à ce qu’ils ont consommé.

3.

IX

Ainsi ce sont les fausses conséquences qu’il faut éviter, et non pas la totalité des conséquences. Ainsi il faut expliquer un principe, et non pas en borner les déductions. A la bonne heure