MANZ. 11. 0086 [Postillato] Milano, Biblioteca Nazionale Braidense
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14.
On serait bien embarassé à tirer de ceci l'idée claire du <u>crime</u>; selon l'auteur. Est-ce l'infraction volontaire de la lois qui constitue le crime? Mais alors il y a des crimes saintes, et c'est lorsque la loi commande le mal. Cacher un homme mis hors la loi en gB, était-ce un crime? et par opposé ce que n'est pas défendu par la lois, ne pourrait-il jamais être criminel? L'idée du crime serait donc sans relation avec la justice et l'injustice? Mais alors, comment le crime résulte-t-il non de la simple commission, du simple fait, mais de la volonté d'enfreindre la lois? Et qu'est-ce-que des <u>crimes bien réels</u> dont la punition est affligeante?
La postilla non si riferisce alla discussione sui vantaggi e svantaggi delle proibizioni ma individua come problematica la definizione del concetto di crimine.