MANZ. 12. 0032 [Postillato] Milano, Biblioteca Nazionale Braidense

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3.

Qu'ils étaient épouvantables les sentimens <... ...> des payens <!>sur la morale! quae delectatio homini polito, de voir un homme faible dechiré par une puissante bête! L'on dirait qu'ils n'avaient aucune idée, aucun instinct de compassion. Mais ce serait se tromper; ils en avaient, et pour qui? pour les élephans: et encore pour quelle raison! [<i>su</i> ?] parce que cet animal semble tenir un peu de l'homme.

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Luogo dell'opera: Livre XL, § IV: «Jeux donnés au peuple par Pompée pour la dédicace de son théatre»]
Termine o passo postillato: «[…] Mais quel plaisir un homme d'esprit peut-il éprouver en voyant un petit homme foible déchiré par une bête grande et vigoureuse, ou une belle bête percée d'un épieu? C'est le dernier jour que parurent les éléphans, qui causèrent une grande admiration à la multitude, mais nul plaisir. Le peuple même en fut touché de commisération, sur la pensée que cet animal a de l'intelligence, et une espèce de société avec l'homme.»