MANZ. 12. 0031 [Postillato] Milano, Biblioteca Nazionale Braidense
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Il qualifie d'infame cette loi, et quelques lignes plus bas il appelle l'altération des monnaies un remede dangéreux; ne s'appercevant pas que ces deux choses entre lesquelles il met tant de différence sont parfaitement semblables. La loi de Flaccus équivaut à une loi qui aurait quadruplé la valeur <... ...>
Luogo dell'opera: livre XXXIII, § I :«Banqueroute universelle. Loi injuste de Valérius Flaccus»]
Termine o passo postillato: Ainsi personne ne payoit; tout commerce, tout affaire étoit cessée, et le consul Flaccus, au lieu de remédier au mal, l'autorisa et l'augmenta en faisant ordonner par une loi que les débiteurs ne seroient obligés de payer que le quart de ce qu'ils devoient à leurs créanciers.