MANZ. 15. 0016.H [Postillato] Milano, Biblioteca Nazionale Braidense
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Il n’y est rien, car il n’y est pas, non plus que <u> vi </u>: <u> più che voi non pensate </u>. Au reste c’est dans l’une est dans l’autre langue une figure grammaticale assez connue: <u> ne </u> est négatif dans la locution franc. comme <u> non </u> dans la locution ital. Mais il y a perdu la signification pour une syllepse. C’est comme <U> je craine que vous [pensez] </u> V. Dumarsais, et Grammaire des Gramm. pag. 1046 et Corticelli, qui l’appelle non ripieno.
La Grammaire des grammaires di Duvivier, testo posseduto e postillato da Manzoni (CSM 971-72), alla p. 1046 tratta della figura di sillessi, o sintesi, e rimanda a sua volta al luogo di Dumarsais probabilmente presente a Manzoni: «La Syllepse a lieu lorsque les mots sont employés selon la pensée, plutôt que selon l’usage de la construction grammaticale […] C’est encore par cette figure que l’on peut rendre raison de certaines phrases où l’on exprime la négative ne, quoiqu’il semble qu’elle doive être supprimée, comme lorsqu’on dit: Je crains qu’il NE vienne; j’empêcherai qu’il NE vienne; j’ai peur qu’il N’oublie, etc. En ces occasions on est occupé du désir que la chose n’arrive pas ; on a la volonté de faire tout ce qu’on pourra, afin que rien n’apporte d’obstacle à ce qu’on souhaite, voilà ce qui fait énoncer la négation. (Dumarsais, Encycl. Méth. au mot Construction, et sa Logique, p. 119)». Il passo di Duvivier non mostra segni di lettura, come non ne reca la copia della Logique di Dumarsais posseduta da Manzoni (cfr. POSTILLE. FILOSOFIA, p. 169).