MANZ. 12. 0013 [Postillato] Milano, Biblioteca Nazionale Braidense

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3.

<L>es injustices extrèmes <p>ortent quelquefois <c>eux qui en <s>ouffrent à un <g>rand dégré de <pe>rversité; la <ca>use n'est point <u>ne excuse pour <e>ux; mais il est bon de la remarquer, et il n'est pas juste de leur attribuer tout le blâme du mal qu'ils font.

Luogo dell'opera: Livre septième, § II: « INTERRÈGNE. Trouble affreux après la mort de Caius»
Termine o passo postillato: Un prince, quelque méchant qu’il soit, ne peut pas être tellement abandonné, que personne ne s’interesse pour lui. […] Les esclaves mêmes, dont il était toujours prêt à écouter les délations contre leurs maîtres, et qui souvent sortoient de servitude et s'enrichissoient par cette voie, affectionnoient Caius; dignes partisans et fauteurs d'un tyran.